« Le Projet 313 »
par Benjamin Capdevielle
Renseignements : + 33 6 75 20 76 11
« Projet 313 »
313, comme la plaque minéralogique de la Scrutto de Donald...
313 comme 313 oeuvres inédites au format 30 cm x 30 cm...
313 comme une vision originale des années comics, mangas et consoles vidéos...
313 comme un projet de cinq ans où mois après mois, Benjamin Capdevielle réalisera pour notre plus grande joie l'intégralité de cette oeuvre monumentale.
313 comme une nouvelle règle du jeu que les invités découvriront le soir du vernissage, le jeudi 27 mai 2010 (sur invitation seulement : [email protected]).
Photographe et peintre pop art, Benjamin Capdevielle, bercé de Comics, de Mangas et de Pop Art, dix ans une oeuvre ambitieuse.
Les formats, le cadrage et la décomposition d'une peinture en plusieurs parties font référence au vignettage de planche de bande dessinée.
Aujourd'hui il consacre son temps et son travail au mélange des deux arts : Peinture et Photographie (mobilier design, mobilier urbain, portrait et architecture).
Très friands de ses œuvres, le Cinéma, la Télévision et les Campagnes Publicitaires les utilisent fréquemment pour leurs décors comme pour le film “Brice de Nice”.
Après une année de succès à l'Espace Cortambert et, très récemment, au Pavillon des Arts et du Design des Tuileries, Benjamin Capdevielle donne un nouvel élan à sa jeune et très prometteuse carrière d'artiste avec :
« Le Projet 313 »
Benjamin Capdevielle nous présentera les 50 premiers numéros du projet 313, ainsi qu'une vingtaine de toiles grand format (ainsi que des dyptiques et tryptiques) réalisés depuis deux ans pour cette exposition événement.
Renseignements : + 33 6 75 20 76 11
Né en 1959 , Eric MARRIAN est architecte de formation.
Il décide au début des années 2000 de revenir à ses premieres amours, la photographie, discipline dont il avait hésité à faire son métier alors qu'il était encore étudiant en architecture. Il commence une série sur Saint Malo en 2003 qu'il poursuit encore, puis passe à la photographie en studio, en moyen et grand format... Les choses s'enchaînent très vite : il gagne le concours de BIEVRES, est publié à de nombreuses reprises dans la presse photographique et est invité à participer au salon des Artistes français.
Fin 2005 il démarre la série CARRE BLANC. Avec les premières images de cette série, il gagne le concours 2006 du festival européen de la photo de nu d'Arles… Sa série Saint Malo est également récompensée par le Leica Procirep.
L'exposition qui suit à la galerie Verdeau est un vrai succès : il y est repéré par un galeriste russe (galerie 2.36) qui l’expose et le fait exposer à plusieurs reprises en 2008 et 2009. Olga Sviblova le programme pour la biennale de Moscou et lui dédie un espace de 400m2.
Connu et suivi chez de nombreux annonceurs (Nikon, Kodak, Leica, Picto, DUPON), il développe un regard sur le monde de la mode en signant ses premiers éditos.
L'Espace Cortambert à le plaisir de vous proposer du 1er au 26 mai 2010 :
40 de ses plus belles études CARRE BLANC.
Renseignements : Fabrice Frémy + 33 6 75 20 76 11 ou [email protected]
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Offrez ou offrez-vous en exclusivité EXPOSITION de 43 couvertures et projets de couvertures originaux. Tous les jours du mercredi 21 avril au mercredi 19 mai 2010 à toute heure sur RV (+ 33 6 75 20 76 11) Au 39 bis, rue Cortambert, Paris 16° Métro Þ Ligne 9 : Trocadéro, Rue de la Pompe, La Muette. Ligne 6 : Passy. Bus Þ 63 : Sablons-Cortambert. Voiture Þ Parking Passy (angle avenue Paul Doumer/Rue de Passy). EXPOSITION de 43 couvertures et projets de couvertures SAS originaux
Un tirage argentique original d'une couverture de SAS (auteur Gérard de VILLIERS), signé par le célèbre photographe de la série Thierry VASSEUR.
Format : 30 cm x 40 cm monté sous marie-louise.
Numéroté de 1 à 8.
Prix : 299 € seulement. Offre valable jusqu'au 26 mai 2010 (350 € ensuite).
Durant plus de 11 ans d'affilée, Thierry VASSEUR s'est imposé comme l'unique photographe de la série SAS, créée par l'écrivain Gérard de VILLIERS.
Chaque année, les 4 nouvelles aventures de SAS, avec le prince Malko Linge, se vendent à plus de 200 000 exemplaires chacune.
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Un artiste Pop, c'est indéniable. Benjamin Capdevielle le revendique : « Lichtenstein, c'est la base de mon influence », et il n'hésite pas à dire qu'il est ancré dans les années 70. Comics, mangas et séries télé à la frontière du réel l'embarquent dans un autre monde peuplé par Donald, Iron Man et par de supers héroïnes fantastiques que des créatures monstrueuses capturent.
Il n'est pas d'ici, Benjamin Capdevielle, il vient d'ailleurs. Ce qui donne à sa peinture un mélange détonant : le trait de la bande dessinée, ligne claire parfaite, noire sur blanc, des aplats de couleurs franches et partout l'irruption du surnaturel. Malgré une absence de reliefs, les personnages sont rendus dynamiques par le découpage des toiles en deux ou trois morceaux à l'instar du vignettage de la BD et d'un cadrage inspiré par sa formation photographique. Diptyques, triptyques apportent une profondeur structurante et nous projettent immédiatement dans l'action, au cœur d'un univers survitaminé.
Autodidacte, Benjamin Capdevielle, né en 1977, est un tout jeune artiste quicommence comme photographe malgré une vocation de dessinateur : « ma mère m'appelait ripolin car je peignais tous le temps, avec de la peinture de chez Castorama ». Adolescent il commence donc en décorant sa chambre et se met à peindre en 1998. Mais poussé par la nécessité de gagner sa vie, il se consacre à la photo et sort diplomé de MJM-Art School à Paris.
Quelques années plus tard, l'exposition de Murakami à la fondation Cartierréactive son désir de reprendre ses pinceaux. Les myriades d'yeux colorés de l'artiste japonais, l'iconographie des mangas qu'il connaît bien pour les avoir reçus comme cadeaux de la part de visiteurs nippons qui venaient chez lui lorsqu'il était enfant, le projettent à nouveau dans cet univers qu'il a déjà fait sien. Il se met à découper tout ce qu'il a, sa collection, comme des numéros originaux de The Micronauts à Doc Strange, qu'il chine et colle sur la toile. Morceaux de BD, publicités, petites annonces : « je veux mélanger tout ce qu'il se passait à ce moment-là ». Cela devient le fond sur lequel il va peindre et qui offre une deuxième lecture qui révèle parfois des images érotiques à peine visible au premier coup d'œil. Un second degré dont Benjamin n'est jamais très loin. Amusé par le sérieux déjanté de Donald, il s'agace de la perfection gentillette de Mickey et s'entiche des extra-terrestres qui pourraient être à l'origine de notre humanité.
Passion, déraison, théorie fumeuse, Benjamin Capdevielle rigole mais écoute, se passionne, cherche à comprendre d'où nous venons et en illustre la problématique. Ce qui donne aujourd'hui à sa peinture une orientation tout à fait énigmatique et personnelle. Tout commence par une recherche sur les plus anciennes calligraphies. L'écriture cunéiforme des Sumériens, anciens Babyloniens, retient son attention. Il découvre la théorie de l'auteur Zecharia Sitchin et l'existence supposée des Annunakis venus de la planète Nibiru, qui, par manipulation génétique, auraient créé l'homo sapiens. Hypothèse relayée, mais aussi largement controversée, par nombre d'archéologues et de linguistes ayant examiné les textes gravés de la civilisation sumérienne, elle-même porteuse de nombreuses questions. Si Benjamin Capdevielle garde raison face à ces extraordinaires spéculations, il n'en demeure pas moins fasciné et trouve matière à travailler.
Nouvelle inspiration pour cet artiste déjà fin prêt à entrer dans un monde de science-fiction, bercé par des films de séries B des années 50 : « La femme de 50 pieds », « La planète interdite », « Robot Monster »... Les scénarii bidon, les trucages grossiers et les typos des affiches qui les accompagnent composent un monde qui lui parle et porte son œuvre en devenir du comic strip vers l'espace intersidéral. « Je n'invente rien, je me sers du passé », dit-il, mais aussi de l'avenir, d'un lendemain qui n'existe pas encore, toute une vie devant lui. Pour l'heure, c'est le projet 313 qui l'occupe. Après plusieurs expositions collectives et participations à des foires d'art contemporain, voici venu le temps de sa première exposition personnelle.
Je laisse Benjamin à son travail, minutieux comme une horloge suisse, il peaufine le trait noir d'une soucoupe volante sur fond sonore d'un documentaire avec dans la tête l'envie sourde de tendre vers l'abstraction et la matière, un big bang attendu dans une carrière qui décolle au quart de tour vers les étoiles.
Reportage de Fanny LASSERRE pour Sub Yu Magazine
Projet 313 : Exposition du jeudi 27 mai au samedi 26 juin
Espace Cortambert : 39 bis, rue Cortambert, Paris 75116
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L'Espace Cortambert a eu le plaisir de vous présenter une sélection d'oeuvres de maîtres de la bande dessinée et du pop art au Pavillon des Arts et du Design de Paris.
L'événement se tenait aux Tuileries (1er ardt), du 24 au 28 mars 2010.
Artistes présentés :
Bande dessinée : Dany, Olivier Grenson, Jacques de Loustal, Lambil, Walter Minus, Moebius, Alex Varenne...
Pop Art/Street Art : Jef Aerosol, Benjamin Capdevielle, Speedy Graphito, Miss Tic, Thierry Vasseur...
Egalement : Robert Combas, Erro, Peter Klasen, Wang Guangyi...
Nous avons eu la joie d'accueillir plus de 6 000 visiteurs sur le STAND 43. Merci pour votre fidélité.
Fabrice FREMY
Mercredi 24 mars au dimanche 28 mars 2010
Tous les jours de 11h00 à 20h00
Nocturne Jeudi 25 mars jusqu’à 23h00
Raffinement et élégance, le PAD est le symbole représentatif de ce goût français, qui prône la juxtaposition et le mélange des genres, et qui aujourd’hui est reconnu
internationalement.
Le salon est une démonstration d’un éclectisme qui sait brillamment manier les styles et les décors.
A chaque édition du PAD, les exposants rivalisent d’inventivité, de goût et de talent pour proposer un univers unique et somptueux sur leur stand.
Le PAD se transforme ainsi en un vaste décor du chic et du bon goût, infinie mosaïque composée de talents multiples venus des quatre coins du monde.
Site du Pavillon des Arts et du Design : www.padparis.net
Remerciements : Sarah Marshall, Jean-Claude Jitrois couturier, DC Comics, Cybergun, Diable blanc comics
Photographe attitré des inoubliables couvertures de la série SAS depuis 11 ans, avec la complicité de Gérard de Villiers, Thierry Vasseur est un artiste complet : photo-reporter, photographe de mode et de publicité, portraitiste, créateur pop art,…
Il développe depuis quelques années une ambitieuse œuvre parallèle inspirée de l’univers des mangas, des robots et des polars qu’il expose dans les galeries (Eric de Montbel, David Corcoss, Corrado Bortone, AM…) et les lieux branchés de Paris (le Wagg, Studio Angel’s, les Bains, le Bund…) .
Ses photos sont publiées dans de très nombreux journaux et magazines (Echo des Savanes, Photo, Beaux arts, Arts Actuel, Homme de luxe, Elle, Vogue, Libération, Stratégies…).
Après Eros et Thanathos, Dangerous Girl, Les envahisseurs, La contre-Attaque Thierry Vasseur nous propose aujourd’hui sa dernière exposition à l’Espace Cortambert.
« Who are they ? »
Il nous présentera près de 50 magnifiques tirages originaux de grand format, pour la plupart inédits, associés à une rétrospective de son travail.
du vendredi 12 février au samedi 13 mars 2010
Renseignement (+ 33 6 75 20 76 11)
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Face au désir, peinture sur Plexiglas 50 cm x 70 cm
« Je ne peins pas des femmes mais mon amour des femmes », dit Varenne.
Ardeur, Zorn, Erma Jaguar, les larmes du sexe… Plus de 30 albums de bande dessinée, des histoires courtes ou des séries, des adaptations de romans, des portfolios, des livres d’art, des toiles, des plexis…Alex Varenne, né à Saint-Germain-au-Mont-d’Or, près de Lyon, est un artiste complet qui aborde depuis 40 ans la bande dessinée et le pop art avec le même bonheur.
Enseignant en arts plastiques et peintre, il crée dans les années 70, avec son frère Daniel au scenario, Ardeur, une saga post-atomique en bandes dessinées de neuf albums (d’abord publiés dans Charlie Mensuel). Psychédélique d’abord, avec des couleurs flash, son travail prend ensuite une tournure plus expressionniste, avec ses ombres et lumières.
A partir des années 80, Varenne se consacre exclusivement à la réalisation d’albums érotiques (Erma Jaguar, Lola) et s’impose parmi les plus grands. Il publie dans l’Echos des Savanes, Playboy, Penthouse Comics…
En 2000, plus intime, Varenne revient à la peinture. Avec son style figuratif et ses larges aplats de couleurs, il nous entraîne dans ses rêves et ses fantasmes.
Un visage, un corps, une étreinte… En quelques lignes claires, légères et vives à la fois, qui empruntent autant à la BD qu’à l’estampe japonaise, Varenne nous montre l’amour, l’abandon, le désir, sans fard. Il n’hésite pas, parfois, à interpréter ou à réinventer certains chefs d’œuvre classique (Vinci, Caravage, Courbet, Ingres…). Hymne à l’érotisme et au mystère féminin, son œuvre nous trouble et nous enchante.
Alex Varenne, le regard clair et franc, assume avec calme et conviction l’ensemble de son travail, avec sa part impudique, transcendée par son élégance.
A celui qui lui demande : « Comment osez-vous ? », il répond avec douceur :
« Si ce n’est moi, qui d’autre le fera ? »
Varenne, qui vient de fêter ses soixante dix ans, expose aujourd’hui dans les plus grandes galeries, à Paris, à Barcelone, à Bruxelles, à Hambourg ou à Genève.
Epris de défis, il explore maintenant les immenses possibilités que lui offre le plexiglas. Bruns, blancs, noirs, gris… ses couleurs s’assagissent. Mais les audaces se multiplient : mélanges de gouache et de pastel, superpositions de feuilles, de photos et d’hologrammes…
Varenne nous dévoile avec l’Espace Cortambert (39 bis rue Cortambert, Paris 16°), une nouvelle facette de son talent avec Plexidream, une exceptionnelle série inédite sur Plexiglas de quarante nus, entourée d’une trentaine de ses toiles.
L'Espace Cortambert, en partenariat avec
la SFL (Société Foncière Lyonnaise) et Moebius Production, aura le plaisir de
vous accueillir pour une exposition éphémère autour
de l’œuvre de MOEBIUS, le grand maître
de la bande dessinée, au 103, rue de
Grenelle (Paris 7°), le vendredi 27
novembre, entre 9 heures et 22 heures. A l'occasion du lancement de son
album événement Arzak, Destination Tassili, MOEBIUS
proposera au public parisien, ce jour-là (et seulement ce jour là),
en avant-première mondiale, une cinquantaine
d’œuvres originales, la plupart inédites. Certaines œuvres pourront être
acquises sur place, ainsi que la version « collector » et noir et
blanc d’Arzak, Destination Tassili. Le 103 rue de Grenelle
: propriété de la SFL, cet immeuble du 19e siècle de 20 000 m2, dans le
quartier des ministères, est dominé par l'ancienne tour du télégraphe
(Tour de Chappe), site des premières émissions de télévisions. Rénové sous la direction de l'architecte
Philippe Chiambaretta, le 103 rue de Grenelle est le premier ensemble
immobilier en pierre de taille certifié Haute Qualité Environnementale (HQE). INFORMATIONS PRATIQUES Date unique
: le vendredi 27 novembre 2009 Horaires : 9h00
à 22h00. Adresse :
103, rue de Grenelle - 75007 PARIS Métro : Ligne
8 : Invalides. Ligne 12 : Solferino. Ligne 13 :
Varenne Organisation
: SFL (Société Foncière Lyonnaise), Moebius Production, Fabrice Frémy (Espace
Cortambert), Gonzague de Waresquiel. Contact mail : [email protected] "Arzak, destination Tassili" Les années passent, l'éclat de cette comète ne faiblit pas et réclame un écho, une nouvelle aventure ! Moebius a donc choisi : Arzak parlerait, bougerait, mangerait. Il aurait des aventures avec queue et tête, tomberait malade, guérirait. Il emporterait une troupe de petits enfants hilares sur son gazellon et tout ceci sur la planète Tassili avec ses paysages interminables en forme d'Arizona. Ce premier tome inaugure une série qui mixe science fiction et heroïc Fantasy... Il sera suivi d'un deuxième, puis d'une troisième partie où l'on verra ce qu'on verra et peut être même plus encore. Cette première édition collector, a été imprimée à 3000 exemplaires en avant-première de la sortie couleur de l'album "Arzak Tassili". 500 sont signés par l'auteur, accompagnés d'un ex libris et d'un tampon original, numéroté de 1 à 500.