C'est la crise ? Tentez votre chance avec un nouveau porte-bonheur
"MAGIC RABIT"
Benjamin Capdevielle
ACRYLIQUE et COLLAGES SUR TOILE > 160 X 80 CM.
Renseignements : Fabrice Frémy au 06 75 20 76 11
C'est la crise ? Tentez votre chance avec un nouveau porte-bonheur
"MAGIC RABIT"
Benjamin Capdevielle
ACRYLIQUE et COLLAGES SUR TOILE > 160 X 80 CM.
Renseignements : Fabrice Frémy au 06 75 20 76 11
dans Pop art | Lien permanent
FLUIDITE M
Benjamin Capdevielle
ACRYLIQUE SUR TOILE > 120 CM X120 CM.
4 200 euros.
Renseignements : Fabrice Frémy au 06 75 20 76 11. [email protected]
dans Bande dessinée, Pop art | Lien permanent
Les enchères pour la vente Pin Up organisée le 23 janvier au cabaret parisien du Crazy Horse ont atteint 360 000 euros pour 450 oeuvres.
Alain Aslan, Les folies Bergères, nouvelle revue d'Hélène Martini
Tous les résultats de la vente
A signaler parmi les oeuvres proposées par l'Espace Cortambert à cette vente :
Walter Minus
Pin up blonde aux yeux verts, acrylique sur papier, monogrammée, format 22,5 cm x 17,5 cm : 475 € (prix galerie 400 €)
Pin Up Rousse au bustier, Format 26 cm x 19 cm : 525 € (prix galerie 450 €).
Pin Up au bustier. Acrylique sur toile signée. Format 120 cm x 60,5 cm : 4 125 € (Prix espace Cortambert : 3 250 €.
Dessins Minus encore disponibles
Alex Varenne
Le sommeil : acrylique de la série Plexidream, pastel et crayons sur plexiglas, 70 cm x 50 cm : 2 250 € (prix Espace Cortambert pour un plexiglas Plexidream : 1 500 €)
Plexiglas Varenne encore disponibles
Le Cul d'Angèle, acrylique sur toile, Format 73 x 42 cm. 3 125 € (prix Espace Cortambert d'une oeuvre du même format 2 500 €).
Toiles Varenne encore disponibles
Thierry Vasseur
SAS Elena, Photographie pour une couverture de SAS (tirage numérique sur papier photographique, monté sur marie-louise). 1/8 ex. Format 30 x 40 cm. 563 € (prix Espace Cortambert : 300 €).
SAS Céline Durant, Photographie pour une couverture de SAS (tirage numérique sur papier photographique, monté sur marie-louise). 1/8 ex. Format 30 x 40 cm. 375 € (prix Espace Cortambert : 300 €).
SAS Tatiana, Photographie pour une couverture de SAS (tirage numérique sur papier photographique, monté sur marie-louise). 1/8 ex. Format 30 x 40 cm. 350 € (prix Espace Cortambert : 300 €).
Photos SAS de Thierry Vasseur encore disponibles
Photos Grand format Thierry Vasseur encore disponibles.
dans Pop art | Lien permanent
Vente Pin’up dimanche 23 janvier 2011 à 13h30
Exposition samedi 22 janvier 2011 de 11h à 18h
Crazy Horse - 12 avenue George V - 75008 Paris
Après avoir ouvert sa scène à des actrices célèbres, le Crazy Horse accueille pour la première fois une vente aux enchères consacrée au Glamour’ Art. Cette vente organisée par la maison de ventes Cornette de Saint Cyr, rassemble 453 lots de 100€ à 12.000€ autour de la pin’up : tableaux, photos, dessins, gouaches, sculptures, objets, planches de BD, avec des chefs d’œuvre de la photographie de charme.
Cette vente réunit les plus grands illustrateurs français et américains de pin’ up (L'Espace CORTAMBERT, qui a eu le plaisir d'accueillir plusieurs d'entre eux ces trois dernières années, présente à cette occasion une sélection de pièces d'exception) : ASLAN, OKLEY, Peter DRIBEN, Ted WITHERS, Baron Von LIND, BERTHET, LORIS, BRENOT....mais aussi des dessinateurs de bande dessinée : MANARA, DANY... des signatures de l’art moderne et contemporain : PASCIN, JEFF AEROSOL, MEL RAMOS... et de nombreux photographes dont Marc ROBIN,
Eric NEVEU, Uwe OMMER, Thierry VASSEUR, Guy LE BAUBE…
Contact étude : Arnaud Cornette de Saint Cyr - +33(0)1 47 27 11 24
Contact Expert : François Meyniel - +33(0) 6 07 01 10 11
dans Pop art | Lien permanent
"Super Girl"
Benjamin Capdevielle
ACRYLIQUE SUR TOILE > 120X120 CM.
4 200 euros.
Renseignements : Fabrice Frémy au 06 75 20 76 11. [email protected]
dans Pop art | Lien permanent
Un artiste Pop, c'est indéniable. Benjamin Capdevielle le revendique : « Lichtenstein, c'est la base de mon influence », et il n'hésite pas à dire qu'il est ancré dans les années 70. Comics, mangas et séries télé à la frontière du réel l'embarquent dans un autre monde peuplé par Donald, Iron Man et par de supers héroïnes fantastiques que des créatures monstrueuses capturent.
Il n'est pas d'ici, Benjamin Capdevielle, il vient d'ailleurs. Ce qui donne à sa peinture un mélange détonant : le trait de la bande dessinée, ligne claire parfaite, noire sur blanc, des aplats de couleurs franches et partout l'irruption du surnaturel. Malgré une absence de reliefs, les personnages sont rendus dynamiques par le découpage des toiles en deux ou trois morceaux à l'instar du vignettage de la BD et d'un cadrage inspiré par sa formation photographique. Diptyques, triptyques apportent une profondeur structurante et nous projettent immédiatement dans l'action, au cœur d'un univers survitaminé.
Autodidacte, Benjamin Capdevielle, né en 1977, est un tout jeune artiste quicommence comme photographe malgré une vocation de dessinateur : « ma mère m'appelait ripolin car je peignais tous le temps, avec de la peinture de chez Castorama ». Adolescent il commence donc en décorant sa chambre et se met à peindre en 1998. Mais poussé par la nécessité de gagner sa vie, il se consacre à la photo et sort diplomé de MJM-Art School à Paris.
Quelques années plus tard, l'exposition de Murakami à la fondation Cartierréactive son désir de reprendre ses pinceaux. Les myriades d'yeux colorés de l'artiste japonais, l'iconographie des mangas qu'il connaît bien pour les avoir reçus comme cadeaux de la part de visiteurs nippons qui venaient chez lui lorsqu'il était enfant, le projettent à nouveau dans cet univers qu'il a déjà fait sien. Il se met à découper tout ce qu'il a, sa collection, comme des numéros originaux de The Micronauts à Doc Strange, qu'il chine et colle sur la toile. Morceaux de BD, publicités, petites annonces : « je veux mélanger tout ce qu'il se passait à ce moment-là ». Cela devient le fond sur lequel il va peindre et qui offre une deuxième lecture qui révèle parfois des images érotiques à peine visible au premier coup d'œil. Un second degré dont Benjamin n'est jamais très loin. Amusé par le sérieux déjanté de Donald, il s'agace de la perfection gentillette de Mickey et s'entiche des extra-terrestres qui pourraient être à l'origine de notre humanité.
Passion, déraison, théorie fumeuse, Benjamin Capdevielle rigole mais écoute, se passionne, cherche à comprendre d'où nous venons et en illustre la problématique. Ce qui donne aujourd'hui à sa peinture une orientation tout à fait énigmatique et personnelle. Tout commence par une recherche sur les plus anciennes calligraphies. L'écriture cunéiforme des Sumériens, anciens Babyloniens, retient son attention. Il découvre la théorie de l'auteur Zecharia Sitchin et l'existence supposée des Annunakis venus de la planète Nibiru, qui, par manipulation génétique, auraient créé l'homo sapiens. Hypothèse relayée, mais aussi largement controversée, par nombre d'archéologues et de linguistes ayant examiné les textes gravés de la civilisation sumérienne, elle-même porteuse de nombreuses questions. Si Benjamin Capdevielle garde raison face à ces extraordinaires spéculations, il n'en demeure pas moins fasciné et trouve matière à travailler.
Nouvelle inspiration pour cet artiste déjà fin prêt à entrer dans un monde de science-fiction, bercé par des films de séries B des années 50 : « La femme de 50 pieds », « La planète interdite », « Robot Monster »... Les scénarii bidon, les trucages grossiers et les typos des affiches qui les accompagnent composent un monde qui lui parle et porte son œuvre en devenir du comic strip vers l'espace intersidéral. « Je n'invente rien, je me sers du passé », dit-il, mais aussi de l'avenir, d'un lendemain qui n'existe pas encore, toute une vie devant lui. Pour l'heure, c'est le projet 313 qui l'occupe. Après plusieurs expositions collectives et participations à des foires d'art contemporain, voici venu le temps de sa première exposition personnelle.
Je laisse Benjamin à son travail, minutieux comme une horloge suisse, il peaufine le trait noir d'une soucoupe volante sur fond sonore d'un documentaire avec dans la tête l'envie sourde de tendre vers l'abstraction et la matière, un big bang attendu dans une carrière qui décolle au quart de tour vers les étoiles.
Reportage de Fanny LASSERRE pour Sub Yu Magazine
Projet 313 : Exposition du jeudi 27 mai au samedi 26 juin
Espace Cortambert : 39 bis, rue Cortambert, Paris 75116
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Remerciements : Sarah Marshall, Jean-Claude Jitrois couturier, DC Comics, Cybergun, Diable blanc comics
Photographe attitré des inoubliables couvertures de la série SAS depuis 11 ans, avec la complicité de Gérard de Villiers, Thierry Vasseur est un artiste complet : photo-reporter, photographe de mode et de publicité, portraitiste, créateur pop art,…
Il développe depuis quelques années une ambitieuse œuvre parallèle inspirée de l’univers des mangas, des robots et des polars qu’il expose dans les galeries (Eric de Montbel, David Corcoss, Corrado Bortone, AM…) et les lieux branchés de Paris (le Wagg, Studio Angel’s, les Bains, le Bund…) .
Ses photos sont publiées dans de très nombreux journaux et magazines (Echo des Savanes, Photo, Beaux arts, Arts Actuel, Homme de luxe, Elle, Vogue, Libération, Stratégies…).
Après Eros et Thanathos, Dangerous Girl, Les envahisseurs, La contre-Attaque Thierry Vasseur nous propose aujourd’hui sa dernière exposition à l’Espace Cortambert.
« Who are they ? »
Il nous présentera près de 50 magnifiques tirages originaux de grand format, pour la plupart inédits, associés à une rétrospective de son travail.
du vendredi 12 février au samedi 13 mars 2010
Renseignement (+ 33 6 75 20 76 11)
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Brigitte Bardot.
Huile, mine de plomb et collage sur toile, signée. Format 116 cm x 89 cm.
Fille d’un dessinateur talentueux, Natacha TOUTAIN réalise ses premières œuvres dès son plus jeune âge.
Illustratrice de livres, portraitiste d’enfants et styliste pour des maisons (Absorba et Petit Bateau), elle se consacre bientôt aux nus.
Sa rencontre avec Alain Bernardin, fondateur du Crazy Horse à Paris, décide de sa première exposition (« Les filles du Crazy ») puis de sa carrière.
Elle aborde la peinture à l’huile et décide de se consacrer aux « créatures de rêve » du cinéma américain (Marilyn Monroe, Sharon Stone, Steeve Mc Queen, Paul Newman…), des grands magazines (Kate Moss, Carla Bruni…) et des cours royales (Roi du Maroc, le Roi et la Reine de Jordanie …).
Natacha Toutain expose dans le endroits les plus branchés de Paris et d’ailleurs (Barfly, l’Etoile, l’Aventure, le Polo de Paris, l'Eden Roch, le Majestic, le Normandy, etc.).
Les grands de ce monde lui commandent leurs portraits.
Collectionneurs et amateurs d’art se disputent aujourd’hui ses œuvres dans les grandes salles de ventes. L’Espace Cortambert aura le plaisir d’accueillir Natacha Toutain autour d’une trentaine de toiles grand format, la plupart inédites, à partir du jeudi 15 octobre 2009, 18 heures.
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Walter Minus, amoureux fou des jolies femmes, est auteur et dessinateur d’albums de bandes dessinées (de si jolies filles…). Il illustre régulièrement de grands magazines français et américains : Elle, Senso, Marie Claire, Cosmopolitan… The New Yorker, the New York Magazine.
Il se consacre aujourd’hui à sa carrière de peintre.
Poupées délicieuses et angéliques, pin-up aux lèvres rouges et aux formes généreuses et parfaites,… de face, de profil, en pied ou en cadrage serré, en dentelle noires ou quasi nue. Un trait noir, précis et léger. Rondeurs exquises. Regards pénétrants. Ses magnifiques dessins rendent hommage à toutes les femmes.
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TECHNIQUE : ACRYLIQUE ET COLLAGE SUR TOILE
FORMAT : TRIPTYQUE 200 X 100 CM
Prix : 6 000 €
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