"Que nous dit Douch lorsque, face à ses jurés, il cite "La Mort du loup" d'Alfred de Vigny, dans le texte ? Parmi les cinq accusés, il est le seul à n'avoir jamais connu Paris. Mais sa violence était exacerbée par sa passion pour les auteurs français, pour ce pays qu'il idéalisait. Celui de la Révolution, des grands changements, de la guillotine et de la terreur. "Douch est au fond de nous, la partie noire et putride de notre âme", écrit Deville."
Dans les Echos, mardi 20 septembre, 2011, page 15. "Aux racines du mal", Artcicle d'Adrien Gombeaud, au sujet du roman Kampuchéa de Patrick Deville (Le seuil, coll. Fictions & Cie. 253 pages, 20 euros).
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